Lucky Luke 8 Lucky Luk
Lucky Luke 8 Lucky Luke
Télécharger Lucky Luke tome 8 Chasseur de primes PDF Ebook Kindle Online de Goscinny,Morris
Content
- Le Nouveau journal de Mickey le 19/10/2022
- Rantanplan
- Laurent Gerra présente Lucky Luke (Fabrice L.)
- L’homme qui tire plus vite que son ombre
- Les auteurs de la série
- Dans la même série
- Lucky Luke in other media
- Albums : Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris[modifier modifier le code]
- Liste des histoires de Lucky Luke
- Notes et références[modifier modifier le code]
- Lucky Luke
- Billy the Kid
- Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris – Tome 10 en vidéo
- La protection animale, nouveau “cheval de bataille” de Lucky Luke
- Goscinny
- Jeux vidéo[modifier modifier le code]
- Principaux personnages[modifier modifier le code]
- Paris fête l’arrivée de Lucky Luke en France
- RMC – Les grandes gueules le 28/10/2022
- Jean Léturgie
- By Achdé and various writers (since
- Lucky Luke – L’Arche de Rantanplan
- Albums : hors série de la collection originale[modifier modifier le code]
- Séries dérivées[modifier modifier le code]
- Enfin le grand retour de Lucky Luke, avec Jul et Achdé
- Personnages[modifier modifier le code]
- Historical figures who have appeared in Lucky Luke
- Les Collections de BD : Lucky Luke
- Résumé de la série Lucky Luke – Intégrales
Sa principale particularité est de souvent finir les phrases de son frère William[d 13]. Des rails sur la prairie sera le premier album qui marquera la collaboration de Morris et Goscinny avec ce dernier au scénario. Conseils pour acheter ou vendre ses objets de collection, valeur selon argus. Prix BD, Tintin, Asterix,.., pin’s, télécartes, vente pièce de monnaie, billet, pièce argent, euro, actions anciennes et emprunts, sous bocks, verres, porte clés, estimation jouets anciens, Dinky Toys, timbres, mignonnettes, bijoux, miniatures parfum… L’Arche de Rantanplan résonne avec l’actualité grâce à sa galerie de personnages.
C’est d’ailleurs sous l’influence des collaborateurs de Mad qu’il fait de Lucky Luke une véritable parodie[8]. C’est aussi pendant son séjour aux États-Unis que Morris donne naissance aux Dalton, s’inspirant des véritables frères Dalton[c] sur lesquels il se documente à la bibliothèque de New York[c 2]. La série met en scène Lucky Luke, cow-boy solitaire au Far West, connu pour être « L’homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné par son cheval Jolly Jumper et de temps en temps par le chien Rantanplan. Lors de ses aventures, il doit rétablir la justice dans le Far West en pourchassant des bandits dont les plus connus sont les frères Dalton. La série est truffée d’éléments humoristiques qui parodient les œuvres de western. Avec le décès de Morris, et conformément à sa volonté, Lucky Luke poursuit ses aventures avec un nouveau dessinateur, Achdé https://lucky8fr1.com.
Le Nouveau journal de Mickey le 19/10/2022
Un second film, La Ballade des Dalton, sort en 1978, réalisé par les deux auteurs avec l’aide de Pierre Tchernia, au sein des studios Idéfix (créés par Goscinny, Uderzo et Dargaud). Goscinny étant mort l’année précédente d’un arrêt cardiaque, il n’a pas pu assister au montage final du film[d 1]. Morris quitte Dargaud pour fonder sa propre maison d’édition, Lucky Productions.
Black Bart, bandit qui attaque les diligences apparaît dans l’histoire La Diligence[d 31]. Mark Twain, journaliste au Territorial Enterprise apparaît lors de sa rencontre avec Lucky Luke dans l’histoire L’Héritage de Rantanplan. Brigham Young, chef spirituel de la communauté mormone, apparaît dans l’histoire Le Fil qui chante, où apparaît aussi Washakie chef des amérindiens Shoshones[d 32]. Le juge Roy Bean fait sa seule véritable apparition dans l’histoire Le Juge qui lui est dédiée[d 22], mais on peut noter que c’est lui qui fera remarquer dans La Corde au cou aux Dalton qu’ils peuvent se marier pour ne pas être pendus. Il exerce son métier de juge dans le saloon de Langtry au Texas où il terrorise les habitants avec des amendes qu’il encaisse lui-même.
Rantanplan
L’envolée arrière, présente par exemple dans l’histoire Des barbelés sur la prairie qui se moque de l’optimisme du fermier d’être « enfin libre ! Fin 2011, les éditions Lucky Comics décident de reprendre la série Kid Lucky dans le même esprit que Les aventures de Lucky Luke sous le nom de Les aventures de Kid Lucky d’après Morris. Achdé reste au dessin et écrit lui-même le scénario pour les deux premiers albums, L’apprenti cowboy et Lasso périlleux[24]. En 1971, Lucky Luke devient un héros de dessin animé avec le film Lucky Luke, renommé plus tard Daisy Town, dont Goscinny écrit le scénario et Morris le scénarimage lucky8 spins gratuits.
- Jean Léturgie et Xavier Fauche seront, pour Morris, les scénaristes qui vont le plus se rapprocher du style à plusieurs niveaux de René Goscinny (premier degré pour les enfants, et second degré pour les adultes)[15].
- Les premiers ennemis inventés que doit affronter Lucky Luke sont Big Belly, Mestizo et Cheat dans l’histoire Arizona 1880.
- Une charge de cavalerie est alors représentée par trois ou quatre soldats plus des ombres chinoises, un décor du Grand Nord par de la neige et quelques silhouettes de sapins.
- La série se déroule sur une période de 40 ans, de 1861 (juste avant la guerre de Sécession qui débute en avril) jusqu’à la fin du siècle.
- Au bout de deux albums, malgré de bons chiffres de vente, Kid Lucky est interrompu par Morris, qui estime que la série n’a pas le potentiel nécessaire pour continuer[19].
Du côté de la bande dessinée, quelques auteurs se sont réclamés de la série comme Zep, l’auteur de Titeuf[107],[108], ou encore Christophe Blain[107], qui dit avoir appris à lire avec Lucky Luke[109]. Dans le même registre les stéréotypes envers les Mexicains qui font la sieste, les Chinois systématiquement blanchisseurs ou restaurateurs et les Amérindiens qui parlent petit nègre vont disparaitre de la série[17]. La plongée verticale est un angle de vue plus rarement utilisé dans la série, mais dont la particularité permet à elle seule de faire un gag.
Laurent Gerra présente Lucky Luke (Fabrice L.)
La même année sort un jeu de puissance 4 intitulé Les cinq Dalton à l’effigie des frères Dalton[s 27]. En 1980, sort un jeu de sept familles avec les personnages de la série[s 28]. La même année sortent deux jeux de plateau intitulés pour l’un La ballade des Dalton inspiré du Monopoly[s 29] et pour l’autre Lucky Luke le cheval de fer[s 30] L’année suivante, sort un jeu de 52 cartes à l’effigie des personnages de la série[s 31]. En 2002, sort un jeu de carte inspiré de la scopa intitulé Lucky Luke, la bataille contre les Dalton[s 32].
- Dans la quatre-vingt-septième histoire, La Fiancée de Lucky Luke, Lucky Luke doit protéger un convoi de femmes et particulièrement Jenny dont le fiancé est en prison et qui va vivre avec Lucky Luke[s 11].
- Avec Goscinny, les scénarios de la série commencent à avoir une véritable épaisseur.
- W. C. Fields devient patron de cirque miteux dans Western Circus et charlatan dans La Ballade des Dalton.
- Une des figures de l’Ouest qu’on retrouve le plus dans Lucky Luke est le shérif.
- En 1971, Lucky Luke devient un héros de dessin animé avec le film Lucky Luke, renommé plus tard Daisy Town, dont Goscinny écrit le scénario et Morris le scénarimage.
- Du côté de la bande dessinée, quelques auteurs se sont réclamés de la série comme Zep, l’auteur de Titeuf[107],[108], ou encore Christophe Blain[107], qui dit avoir appris à lire avec Lucky Luke[109].
Il possède plusieurs qualités assez inhabituelles pour un cheval, puisqu’il peut tenir en équilibre sur un fil avec un piano sur le dos, monter aux arbres, compter, forcer les serrures et jouer aux échecs, battant même souvent Lucky Luke à ce jeu. Excellent compagnon, il lui arrive de faire la lessive, le ménage et la cuisine pour Lucky Luke. Très susceptible, il peut se vexer lorsque son cow-boy lui adresse une remarque désagréable. Il déteste Rantanplan et ne manque jamais une occasion de le critiquer[d 8]. Héros éponyme de la série, Lucky Luke est un cow-boy solitaire réputé être « l’Homme qui tire plus vite que son ombre ».
L’homme qui tire plus vite que son ombre
Il s’agit d’une adaptation pratiquement conforme du premier dessin animé intitulé simplement Lucky Luke (puis renommé Daisy Town par la suite) sorti en 1971. Dix courts-métrages ont aussi été réalisés par la même équipe, pour la télévision. Basés sur les albums de la série, chacun comprend un invité vedette[73]. Le Lucky Luke incarné par l’acteur ne ressemble pas physiquement au Lucky Luke de la bande dessinée puisqu’il porte un long cache-poussière blanc et un chapeau à bords plats, en revanche, les caractéristiques du héros sont conservées[s 17]. Entre mars 1974 et février 1975, la série va avoir son propre journal de bande dessinée.
- Se différencier de leur véritable histoire permet à René Goscinny de mettre plus de fantaisie dans les personnages des Dalton.
- Morris reste aux États-Unis, d’où il continue d’envoyer régulièrement des planches au journal Spirou.
- Le comique Élie Semoun utilise le personnage de Jolly Jumper dans plusieurs de ses sketchs.
- Il exerce son métier de juge dans le saloon de Langtry au Texas où il terrorise les habitants avec des amendes qu’il encaisse lui-même.
La série est publiée ensuite dans le journal français Pif Gadget à partir de 1978, avec comme premier récit à suivre La Ballade des Dalton du no 500 à no 502[13]. Sont ensuite publiées plusieurs courtes histoires, L’École des shérifs dans le no 506 de Pif Gadget, Un amour de Jolly Jumper dans le no 2117 de Spirou et La Corde du pendu dans le no 2172. L’histoire Le Magot des Dalton est publiée en 1979 dans le magazine VSD (1980 en album). Deux histoires courtes sont publiées dans Spirou, La Mine du chameau et Les Dalton prennent le train respectivement dans le no 2214 et no 2218[2]. Le Bandit manchot est publiée en 1981 dans le journal Tele Junior et la même année en album.
Les auteurs de la série
En 1953, l’histoire Chasse à l’homme paraît du no 787 au no 808 de Spirou et Lucky Luke contre Pat Poker, le cinquième album, sort et contient les histoires onze et treize. L’année suivante, sort le sixième album, Hors-la-loi contenant les histoires douze et quatorze. Les histoires Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » et Lucky Luke et Pilule sont publiées dans le journal Le Moustique respectivement du no 1464 au no 1494 et du no 1508 au no 1516.
- Les plus marquants sont les frères Dalton, qui sont les cousins des véritables Dalton que Morris avait déjà mis en scène auparavant, mais que ce dernier avait fait mourir à la fin de l’histoire.
- Il est accompagné par ses domestiques Jasper et Sam l’Indien, ces deux derniers personnages reviennent dans l’histoire La Belle Province[d 42].
- Il faudra attendre 1981 pour que le dessin original soit rétabli dans l’album[d 2].
- En 1994, à nouveau, Lucky Luke a son propre périodique (mensuel), cette fois chez Semic, qui ne dure encore que quelques numéros, du numéro 1 (juin 1994) au numéro 8 (janvier 1995)[85],[86].
La même année sort un jeu intitulé Lucky Luke Wanted où il faut rechercher des bandits[s 33]. L’année suivante, sort un jeu intitulé Le jeu du tricheur, un jeu de 52 cartes avec un filtre rouge pour pouvoir lire la carte quand elle est retournée[s 34]. En 1982, est publiée l’album La Corde du pendu et autres histoires qui regroupe une histoire inédite et d’autres prépubliées dans divers journaux. En 1983, sort Daisy Town qui est l’adaptation en bande dessinée du film sortie douze ans plus tôt. Le Ranch maudit est publiée dans l’album éponyme en 1986 avec les histoires La Bonne Aventure[64], Le Flume[64] et La Statue[63]. L’album L’Alibi publié en 1987 regroupe l’histoire éponyme, ainsi que Athletic City, Olé Daltonitos et Un cheval disparaît[63].
Dans la même série
En 1991, la série quitte les éditions Dargaud pour rejoindre les éditions Lucky Productions, une société qui ne gère que cette série, créée en Suisse par des amis de Morris et de sa femme. Deux ans plus tard est créée une nouvelle société pour gérer les produits dérivés, appelée Lucky Licensing[19]. Le premier long-métrage d’animation adapté de la série sort en 1971 avec simplement pour titre Lucky Luke (rebaptisé Daisy Town en 1983). Il est réalisé par les studios belges Belvision sur scénario original de René Goscinny, Morris et Pierre Tchernia. Cinq ans plus tard, la même équipe produit La Ballade des Dalton avec les studios Idéfix (créées par Goscinny et Uderzo pour réaliser Les Douze Travaux d’Astérix). En 1984, les studios américains Hanna-Barbera Productions produisent une série animée éponyme.
- Aux États-Unis, Morris a fait, par l’intermédiaire de Jijé, une rencontre capitale, celle du Français René Goscinny, qui travaille à l’époque à la chaîne dans une entreprise de cartes postales fabriquées à la main.
- Ainsi, un promoteur immobilier utilise l’image de Lucky Luke pour ses campagnes publicitaires dans les années 1970 et le quotidien Sud Ouest a utilisé l’image de Lucky Luke pour vendre des abonnements en 2001[107].
- En revanche, Lucky Luke est purement et simplement absent du film, remplacé par le second rôle Buck Carson.
Buffalo Bill apparaît pour la première fois dans le préambule de l’histoire Le Fil qui chante, puis il réapparaît dans Le Pony Express, Belle Starr et La Légende de l’Ouest[d 24]. Jesse James, se prend pour le Robin des Bois de l’Ouest, mais est surtout un voleur méchant et sans foi ni loi. Il apparaît principalement dans l’histoire à son nom où apparaissent aussi son frère ainé et complice Franck[d 25] et son cousin Cole Younger[d 26], puis seul dans Belle Starr. Avant cela, il apparaît trois fois dans la série avec une personnalité et un physique différents de ceux qu’il aura par la suite[d 27]. Il a la particularité d’être aussi le plus bête, sa phrase fétiche étant « Quand est-ce qu’on mange ? Il est souvent le souffre-douleur de ses trois frères, et surtout de Joe.
Lucky Luke in other media
L’histoire Ruée sur l’Oklahoma est cité dans un des cours d’Eric Agostini, professeur de droit à la faculté de Bordeaux. L’acteur Tom Novembre a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[107]. Dans le domaine politique, le Premier ministre turc Turgut Özal a déclaré, sous forme de provocation, ne lire que Lucky Luke.
Elle va obligatoirement être au sommaire de chaque numéro soit avec des histoires courtes complètes ou des histoires à suivre, elle fait aussi la couverture des douze numéros. À partir du no 8 est publiée l’histoire à suivre Le Cavalier blanc qui va se terminer dans le no 12, le dernier numéro du journal avant sa disparition définitive. La série est créée en 1946 dans l’almanach 1947 du journal Spirou avec le récit complet Arizona 1880. L’année suivante est publiée pour la première fois une histoire à suivre La Mine d’or de Dick Digger, dans les journaux Spirou du no 478 au no 502. Cette même année, en 1949, sort le premier album de la série La Mine d’or de Dick Digger, il s’agit d’un album broché paru aux éditions Dupuis qui comprend les histoires deux et trois, suivi du deuxième album Rodéo qui comprend les histoires quatre, cinq et six[61]. L’année suivante paraissent dans Spirou les histoires, Jours de round-up du no 619 au no 629, Le Grand Combat du no 630 au no 646.
Albums : Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris[modifier modifier le code]
Ainsi, un promoteur immobilier utilise l’image de Lucky Luke pour ses campagnes publicitaires dans les années 1970 et le quotidien Sud Ouest a utilisé l’image de Lucky Luke pour vendre des abonnements en 2001[107]. Certains personnages publics vont se déguiser en Lucky Luke, ainsi le patineur artistique Philippe Candeloro fait un spectacle en costume de Lucky Luke. Alain Bashung pose en costume de Lucky Luke pour le magazine Les Inrockuptibles de janvier 2003 et Laurent Gerra a posé habillé en Lucky Luke pour l’affiche de son spectacle Laurent Gerra flingue la télé[107]. En 1994, à nouveau, Lucky Luke a son propre périodique (mensuel), cette fois chez Semic, qui ne dure encore que quelques numéros, du numéro 1 (juin 1994) au numéro 8 (janvier 1995)[85],[86]. Comme son frère William, il est souvent utilisé comme faire-valoir au cours des aventures[d 16].
- Les frères Dalton sont les premiers personnages historiques à apparaître dans l’histoire Hors-la-loi (1951).
- Dans Le Cavalier blanc, le personnage titre présente l’apparence de John Barrymore[52].
- Il s’agit d’une adaptation pratiquement conforme du premier dessin animé intitulé simplement Lucky Luke (puis renommé Daisy Town par la suite) sorti en 1971.
- Le pilote Ned dans l’histoire En remontant le Mississipi et le colonel Mac Straggle dans Le 20e de cavalerie sont des caricatures peu ressemblantes, respectivement de Burl Ives et Randolph Scott.
L’architecture de la maison est en tout point semblable à celle du film d’Alfred Hitchcock. Du reste, le grand cinéaste sera patron d’un saloon dans cette histoire ainsi que dans La Diligence[54]. À la création de la série, et ce pour les quatre premiers albums de Lucky Luke, Morris reconnaît avoir été fortement influencé par le dessin animé. En effet, les premières planches présentent les caractéristiques du genre, tel qu’il était à l’époque, à savoir un trait rond, des personnages simplifiés, des têtes disproportionnées ou encore des mains à quatre doigts.
Liste des histoires de Lucky Luke
Dans l’histoire La Guérison des Dalton, il révèle une nature honnête après la thérapie du docteur Otto von Himbeergeist, mais naïf et paresseux il se laisse entraîner par ses frères[d 16]. Il apparaît pour la première fois dans Sur la piste des Dalton la trentième histoire de la série, publié pour la première fois en 1960. Il « travaille » dans la prison du Texas où sont emprisonnés les frères Dalton. Il apparaît presque toujours avec eux, les suivant à la trace chaque fois qu’ils s’évadent du pénitencier. Physiquement il possède un pelage marron, une grosse truffe noire et des oreilles pointues[d 9]. Cheval rapide (on dit même qu’il est le plus rapide de l’Ouest), il n’a pas peur du danger et sauve Lucky Luke à plusieurs reprises dans la série.
- Lulu Carabine, qui fait flancher le cœur de Joe et William Dalton dans Dalton City ressemble à la plantureuse Mae West.
- En juin 1949, après plusieurs mois passés au Mexique, ses compagnons de voyage repartent vers l’Europe[6].
- L’envolée arrière, présente par exemple dans l’histoire Des barbelés sur la prairie qui se moque de l’optimisme du fermier d’être « enfin libre !
- Il s’agit même d’une des premières séries de bandes dessinées franco-belges de ce genre.
- La même année est publiée dans le troisième numéro de Super Pocket Pilote, une histoire complète de huit pages intitulée Promenades dans la ville, puis dans le quatrième numéro une histoire de seize pages intitulée La Bataille du riz.
Le 20e de cavalerie du no 1356 au no 1377 et L’Escorte du no 1380 au no 1401 sont les publications de l’année 1964. L’année 1965 commence avec la publication de l’histoire à suivre Des barbelés sur la prairie du no 1411 jusqu’au no 1432, puis une Calamity Jane du no 1437 au no 1458. La seule histoire à suivre publiée pour l’année 1966 est intitulée Tortillas pour les Dalton du no 1466 au no 1487, l’album, sortie en 1967, est le dernier à paraître chez Dupuis. Une histoire courte intitulée Le Chemin du crépuscule parait dans le no 1482 bis. L’année 1967 est particulière puisqu’il s’agit de la dernière publication régulière dans le journal Spirou avant son transfert pour le journal Pilote. Cette année est publiée La Diligence du no 1504 au no 1525, Le Pied-Tendre du no 1537 au no 1556[2].
Notes et références[modifier modifier le code]
Ce dernier lui propose de reprendre Lucky Luke, un an après la mort de Morris. Achdé fait alors un essai sur un album en petit format à l’italienne intitulé Le Cuisinier français. Le style graphique que s’impose Achdé est celui de la série qui va de l’histoire Calamity Jane à l’histoire Le Fil qui chante[21]. Pour ses scénarios, Laurent Gerra met de côté son esprit méchant présent dans ses spectacles[22]. Les albums de Gerra étant publiés une à deux fois tous les deux ans, il est annoncé en 2009 qu’une seconde équipe de scénaristes a été mise sur pied afin de favoriser des sorties d’albums plus rapprochées.
En 1951, sort le troisième album, Arizona, qui comprend la première histoire, ainsi que la septième. La même année, la série réapparaît dans Spirou après plusieurs mois d’absence. Nettoyage à Red-City parait du no 685 au no 697 et Hors-la-loi du no 701 au no 731. La politique des éditions Dupuis étant que les séries vedettes soient pratiquement toujours au sommaire, les histoires s’enchaînent rapidement durant l’année 1952. Tumulte à Tumbleweed est publié du no 735 au no 754, Le Retour des frères Dalton du no 755 au no 764 et Lucky Luke et le Docteur Doxey du no 765 au no 786. Le quatrième album intitulé Sous le ciel de l’Ouest sort la même année et contient les histoires huit, neuf et dix.
Lucky Luke
Le plus célèbre d’entre eux dans la série est sans aucun doute Pat Poker. Le barman est pourvu d’un gros ventre et d’une belle moustache ; son activité principale est de servir les verres et de protéger le grand miroir derrière son comptoir lors des bagarres. La danseuse de cancan est présente dans les saloons de la série depuis la libération des mœurs, sous les traits d’une jolie fille ; son autre activité, qui est la prostitution, jamais avouée, saute tout de suite aux yeux des lecteurs plus âgés. Le pianiste, toujours inébranlable malgré les bagarres et les fusillades qui l’entourent, est une dernière figure récurrente du saloon[c 7]. Le chanteur français Joe Dassin interprète, en 1967, une chanson intitulée Les Dalton[16]. Le groupe Carimi cite aussi Lucky Luke dans leur chanson Ayiti Bang Bang en 2001[111].
- Excellent compagnon, il lui arrive de faire la lessive, le ménage et la cuisine pour Lucky Luke.
- Vernon Felps est un fermier cultivateur que Lucky Luke va aider dans une guerre contre les éleveurs dans la quarante-troisième histoire, Des barbelés sur la prairie[d 41].
- Un autre président américain représenté est Rutherford Birchard Hayes, qui lui aussi confie des missions, surtout dans l’histoire L’Homme de Washington, où il est escorté par Lucky Luke pendant sa campagne à travers les États-Unis[s 1].
- Le journal, lancé en 1974 alors que les journaux de bande dessinée entrent dans une période de crise, ne paraît que l’espace d’une année et de 12 numéros[14].
À quelques exceptions près, il porte toujours une chemise jaune, un gilet noir, un foulard rouge, un pantalon bleu, des bottes marron et un chapeau blanc. Son nom, inventé par Morris, vient de « Luck » qui signifie « chance » et de « Lucky », « chanceux »[d 3]. Il s’agit même d’une des premières séries de bandes dessinées franco-belges de ce genre.
Billy the Kid
Un autre président américain représenté est Rutherford Birchard Hayes, qui lui aussi confie des missions, surtout dans l’histoire L’Homme de Washington, où il est escorté par Lucky Luke pendant sa campagne à travers les États-Unis[s 1]. Edwin Drake alias le colonel Drake, apparaît dans l’histoire À l’ombre des derricks, il est à l’origine de la fièvre du pétrole dans la ville de Titusville, mais il aide Lucky Luke à rétablir la justice dans la cité[d 29]. Edward Creighton et James Gamble, ingénieurs de la Western Union apparaissent dans l’histoire Le Fil qui chante[d 30].
- La série contient un nombre considérable de plongées et contre-plongées avec souvent de grandes images qui occupent, sous cet angle de vue, les deux tiers d’une demi-planche.
- Powell est un vieillard, propriétaire d’une mine d’or à Gold Hill[d 37], Lucky Luke le protège contre Denver Miles qui veut lui voler sa mine dans la trente-neuvième histoire intitulée La Ville fantôme[d 38].
- L’année suivante est publiée pour la première fois une histoire à suivre La Mine d’or de Dick Digger, dans les journaux Spirou du no 478 au no 502.
- Après une grosse hésitation de Morris à cause de la non-ressemblance de l’acteur avec Lucky Luke, les contrats sont signés et le film est tourné.
Albert Uderzo a cru que le personnage du pied-tendre est une caricature de lui-même, mais Morris affirme plus tard qu’il ne s’agit que d’une coïncidence[59]. On croise quelques personnalités contemporaines dans certains albums, notamment Louis de Funès et Patrick Préjean dans Le Bandit manchot, Jack Palance en Phil Defer[52] dans l’album du même nom, ou Lee Van Cleef en Eliot Belt dans Chasseur de primes. Dans La Diligence, Alfred Hitchcock apparaît sous les traits d’un barman et le joueur de poker ressemble à John Carradine[53]. Dans Le Ranch maudit, Christopher Lee apparaît sous les traits d’un agent immobilier véreux, Groucho Marx en chasseur de bisons, et Serge Gainsbourg en ivrogne. Dans cette même histoire, Lucky Luke va aider une vieille dame à emménager dans une maison appelée le ranch Bates, comme le personnage de Norman Bates de Psychose.
Les Aventures de Lucky Luke d’après Morris – Tome 10 en vidéo
Gerra reviendra au scénario pour Les Tontons Dalton, avec l’aide de Jacques Pessis, en 2014[68]. Cette option a été préférée à l’idée de faire revenir d’outre-tombe les fameux bandits. Se différencier de leur véritable histoire permet à René Goscinny de mettre plus de fantaisie dans les personnages des Dalton. Deux ans plus tard, sur une idée de Morris d’introduire un nouveau personnage pour la série, Rantanplan, un chien stupide, parodie de Rintintin, fait son apparition dans l’histoire Sur la piste des Dalton[c 3]. Il s’agit d’une des bandes dessinées les plus connues et les plus vendues en Europe, elle a été traduite dans de nombreuses langues.
Au bout de deux albums, malgré de bons chiffres de vente, Kid Lucky est interrompu par Morris, qui estime que la série n’a pas le potentiel nécessaire pour continuer[19]. Avec ce changement d’éditeur, la popularité et les ventes d’albums de Lucky Luke s’accroissent considérablement[c 2]. La série Lucky Luke fait sa dernière apparition dans le journal Spirou du no 1537 au no 1556 avec l’histoire Le Pied-Tendre[2]. Contrairement à la rumeur, Morris n’a quitté Dupuis ni à la demande de René Goscinny qui souhaite réunir ses séries dans Pilote, ni parce que Dupuis aurait refusé d’imprimer Lucky Luke sur des albums cartonnés[10]. La série met en scène le personnage de Lucky Luke, connu pour être « L’homme qui tire plus vite que son ombre », accompagné de son cheval Jolly Jumper. Il fait régner la loi dans l’Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton[1].
La protection animale, nouveau “cheval de bataille” de Lucky Luke
Fingers présent dans l’histoire du même nom est un magicien dont les mains volent sans qu’il puisse les contrôler ; il va aider les Dalton à s’échapper du pénitencier, puis va être placé sous la responsabilité de Lucky Luke[s 14]. Dans la cent-deuxième histoire, Le Pont sur le Mississipi, les frères Bat et Dick Cayman, dont l’aîné est maire des deux villes que doit relier le pont, sabotent sa construction pour ne pas perdre leur puissance[s 15]. Dans l’histoire Le Prophète, Lucky Luke doit rattraper les Dalton et le prophète Dunkle qui a embrigadé Averell Dalton[s 16]. Rantanplan est une parodie du chien Rintintin et à la différence de ce dernier, Rantanplan est stupide[c 3].
- Buffalo Bill apparaît pour la première fois dans le préambule de l’histoire Le Fil qui chante, puis il réapparaît dans Le Pony Express, Belle Starr et La Légende de l’Ouest[d 24].
- L’acteur Terence Hill, vedette du western comique italien, l’a mis en scène tout en incarnant le personnage titre.
- Il apparaît dans la plupart des albums où se déroule un grand trajet à travers les États-Unis, ainsi il fait sa première apparition dans la quarante-septième histoire, La Diligence, puis il revient dans Le Fil qui chante, La Fiancée de Lucky Luke et Belle Starr.
- Le style graphique que s’impose Achdé est celui de la série qui va de l’histoire Calamity Jane à l’histoire Le Fil qui chante[21].
- Si, au début de la série, il n’exprime que rarement ses opinions, à partir de la trentième histoire Sur la piste des Dalton il devient sous la plume de René Goscinny un commentateur de l’action.
Elle a participé à l’élaboration des règles et caractéristiques qui sont devenues par la suite des classiques de ce style de bande dessinée[51]. Quand Morris quitte Dargaud pour Lucky Productions en 1990, il en profite pour refaire le dessin du quatrième de couverture des albums. Lucky Luke qui jusque-là tirait avec un revolver dans l’estomac de son ombre, désormais tire avec deux armes en plein cœur de son ombre[f], la fumée sortie des revolvers est aussi gonflée pour rendre l’image plus impressionnante.